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    To fall in love.

     

    J'ai encore réussi à tout gâcher. Mais qu'est-ce qui ne va pas chez moi ? 

    J'ai l'impression que dès que j'entreprends quelque chose, ça foire. Je n'y peux rien, je ne fais pourtant rien de mal. Je n'ai pas réussi à garder une fois encore l'amour de ma vie. Du moins, l'homme qui, je croyais, l'était. "On n'est pas compatible". Ses paroles raisonnent sans cesse dans ma tête, comme un éternel écho que je ne peux arrêter. J'ai essayé tant bien que mal de tout arranger, mais ça ne semblait pas suffisant. Est-ce que le problème vient véritablement de moi ? Est-ce que je suis vraiment la source du problème ? Je commence vraiment à me le demander.

     

    Pourquoi lorsque quelque chose ne fonctionne pas, nous, êtres humains, nous entêtons sans vain pour essayer de recoller les morceaux ? La vérité était pourtant face à moi et je suis restée dans mon idée. En laissant passer à côté de moi, un homme qui semblait être tout ce que nous, adolescentes ou jeunes adultes, attendons depuis toujours. Vous savez, l'homme que l'on voit dans les films ? Qui vous courre après sous la pluie ? Qui vous observe pendant que vous dormez ? Qui vous regarde les yeux remplis d'étoiles ? Je l'ai trouvé et l'ai perdu à cause de mes idées tournées vers un autre. 

     

    Ne jamais laisser partir une personne, qui pourrait être la raison de votre bonheur. Ne jamais laisser partir une personne, qui pourrait être la bonne. Amis et Amies lecteurs, souhaitez-moi bonne chance. J'ai quelqu'un à récupérer.

     


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  • Je sais que j’ai toujours dis que l’amour n’était pas pour moi. Ce sentiment si horrible qui vous prend à la poitrine et qui vous tord le coeur dès qu’une dispute éclate. J’ai toujours eu peur de ça, de souffrir. La vie ne m’a pas toujours montré que les côtés positifs de l’amour. Ma vie ne m’en a jamais vraiment montré en réalité. Je n’ai jamais eu la chance de voir et ressentir l’amour dans le regard de mes proches. Jamais cette passion, ou cette envie. 

    En continuant, la vie m’a enlevé des personnes qui comptaient tellement que là aussi, mon amour pour les autres a totalement diminué. Je n’ai eu aucun exemple, aucun chemin me menant à la vérité ou à une bonne attitude à adopter. Tout ce que j’entreprenais et qui pouvait être lié à ce sentiment m’effrayait. M’effrayait oui, mais foirait surtout. 

     

    La trahison a souvent fait partie de ma vie. Aucun exemple je vous dis, juste des mensonges volant autour de moi. A 6 ans seulement, j’arrivais déjà à comprendre et à reconnaitre quand le seul homme que j’aimais réussissait à mentir à ma mère. Est-ce que la trahison peut être pardonnée ? Est-ce qu’un jour ma peur de l’amour disparaitra ? Est-ce que l’attachement et la confiance referont un jour partis de ma vie ? 

     

    On dit souvent qu’on apprend et qu’on y arrive en pratiquant, en faisant cet exercice que seuls les plus forts arrivent à réussir : mettre de côtés les mauvaises tensions, les mauvais esprits, les peurs. Je pense être sur la bonne voie malgré mes nombreux doutes qui perdurent.

    Aujourd’hui, j’ai réussi, petit à petit à mettre mes mauvais soupçons de côté pour peut être laisser place à une belle histoire. Durera-t-elle ? Peut-être pas. Seul le destin peut nous le dire. Mais je ne veux en aucun cas passer à côté de quelque chose qui pourrait me rendre heureuse pendant un certain temps. Quit à me tromper. Tomber pour se relever, c’est bien les aléas de la vie ? Du quotidien ? Tout le monde passe par là, pourquoi pas moi. Ce ne sera surement pas la première fois, mais je me relèverais si je me trompe.

     

     

    Et si jamais je ne me trompe pas, j’aurais enfin réussi à faire ce que mes proches n’ont pas fais précédemment : montrer l’amour et la passion qu’il peut y avoir entre deux êtres, choisis et trouvés pour former quelque chose de beau, de vrai et de sincère. Un couple sans craintes, sans peurs et décisions malhonnêtes. J’aurais réussi à montrer que j’ai pu être heureuse, en mettant toutes mes mauvaises pensées de côtés. J’aurais enfin réussi à être heureuse, avec un homme bon.  

     

     

     

     

    Le titre est beau et vrai, la musique l'est encore plus. Pensée à mon amie, qui nous a quitté sur cette musique :


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  • Et tout est dépeuplé. C'est bien ça la phrase que l'on s'arrache tous et qui nous revient à chaque fois qu'une personne sort de notre vie sans qu'on le veuille ?

     

    Les amours qui éclatent, les amitiés qui se fendent et les êtres qui nous quittent subitement. Je n'ai jamais compris le but ultime de notre vie. Naître pour mourir ? Est-ce que c'est ça notre objectif sur terre ?

     

    Ma grand-mère disait toujours que si nous avons été "envoyés" sur terre c'était tout simplement pour jouer un rôle. Pour accomplir quelque chose, pour faire avancer la technologie, la médecine et le monde lui-même. Vous me diriez, Neil Amstrong qui a été le premier homme à mettre un pied sur la lune a accompli quelque chose, Rosa Parks qui a été la première femme noire à oser dire non à un blanc dans un bus a elle aussi fait avancer l'histoire. Mais nous ? Où devons-nous nous positionner dans tout ça ? Dans ce monde rempli de chaos ? 

     

    Apparemment, rien ne serait plus important que notre existence, nos rencontres. Et pourtant, tout peut disparaître en un claquement de doigts. 

    J'ai appris avec les quelques années qui viennent de passer, et malgré mon jeune âge, que la confiance ne devait pas être donné à n'importe qui, que l'espérance ne devait pas être omniprésence et que tout n'était qu'éphémère. J'ai appris aussi que votre propre famille pouvait vous trahir, que vos propres amis pouvaient tourner leur veste et que votre propre moral pouvait à tout moment éclater. 

     

    A quoi bon vivre sur un monde si nous devons simplement mourir par la suite, sans pouvoir changer ces tords pour notre descendance. La vie restera telle qu'elle est. Les personnes se poseront toujours les mêmes questions : quel est mon but sur cette terre ? Qu'est-ce que je fais ici ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi m'a-t-on donné la vie ? 

     

    Des dizaines de questions qui n'auront jamais de réponse..

     


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  • On se demande souvent ce qui nous pousse à faire certains choix dans la vie. 

    Est-ce que les gens nous ont poussés à prendre certaines décisions ? A faire certains choix plutôt que d'autres ?

     

    Petite, j'aspirais à tous les avenirs possible. Je voulais être femme de ménage parce que faire du rangement me plaisait (jamais dans ma chambre par contre). Est venue ensuite l'envie d'être danseuse, parce que je faisais rire les adultes en me trémoussant sur la pistes, au milieu de tous les regards, sans me rendre compte qu'ils se moquaient simplement de moi. Plus grande, je me suis rendue compte que ce qui me donnait envie était d'enquêter sur les meurtres, faire les prélèvements et les analyses, à la "Esprit Criminel". Mais mes résultats en bio m'ont vite fait comprendre que mon rêve n'était pas le bienvenu dans mon avenir.

     

    Et c'est à ce moment là que ma vie a littéralement basculée et que mon avenir s'est clairement dessiné et tracé. J'adorais écrire. Enfant, j'essayais tant bien que mal d'écrire des histoires, mais elles n'avaient clairement aucun sens et aucune chute. Je n'allais donc pas devenir écrivain. Écrivain non, mais journaliste ? Les articles ne s'écrivent pas seuls n'est-ce pas ? 

     

    Plus les années passaient, plus mon idées était claire : je voulais et j'allais devenir journaliste quelles qu'en soient les difficultés. 

     

    Je me suis rendue compte que l'écriture était bénéfique quant à ma façon de vivre et d'aller mieux. Je me suis clairement rendue compte que j'avais ce désir d'écrire. Et c'est là que le secret du nom de ce blog disparaît. Oui, un désir, au plus profond de moi d'écrire, sur tous les sujets qui sont propre à la vie : la vie et la mort, l'amour et la haine, la confiance et la peur,  la réalité et l'illusion. Tout ce qui tourne autour de chaque êtres qu'il existe dans ce monde miteux. 

    C'est comme ça que j'arrive à aller mieux. Comme ça que je survie dans un monde rempli de mensonges, d'infidélités et de trahisons. Comme ça que je me suis construite et endurcie. Grâce à cette passion que certains peuvent avoir pour l'écriture, pour l'assemblage de mots qui ne signifient rien seuls mais tellement lorsqu'ils sont accompagnés. 

     

    Et lorsque, comme tout écrivains, la page blanche se présente, le cerveau entre dans de nombreux doutes, propres à l'humain, mais qui peuvent tellement anéantir et fatiguer. C'est là, une fois de plus, que l'on peut se rendre compte a quel point la vie sera dure, et intense. A quel point l'assemblage de ces mots pour créer une histoire, se rapproche des difficultés et du vécu que créent la vie.

     

     

    Pour la musique allant avec ces doutes :


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    Et malheureusement, j'ai été cap. J'ai été cap de lui faire croire que tout ce qu'il dirait me serait facile à faire. Sans souffrance et sans appréhension.
    J'ai vu l'homme que j'aimais, me tourner le dos, d'année en année, parce que mes sentiments n'étaient pas montrés ou qu'ils l'étaient trop justement.

     

    Je l'ai vu pleurer à mes pieds pour le lendemain m'éviter. Je l'ai vu m'aimer, et me repousser en retour. J'ai vu le bonheur et la peine avec cet homme, j'ai vu le paradis et l'enfer. J'ai vu l'amour et la haine accompagnée de confiance et de trahisons, d'espoir et de désillusion. J'ai tout vu avec lui, mais jamais rien de constant.

     

    Pourquoi la vie ne pourrait pas être plus simple ? Pourquoi l'amour ne pourrait-il pas l'être aussi ? 

    L'amour me ronge, me hante et me détruit. C'est, je pense, le sentiment que j'ai le moins connu dans ma vie, et sans doute, celui que j'aimerai éviter le plus longtemps. L'amour ? Ce n'est même pas un sentiment positif et heureux à mes yeux. Mais il a une force incontrôlable et inexplicable : tout peut être excusé par amour.

     

    Je suis sûr que t'es pas cap de plus me voir pendant un an ? Je suis cap. J'ai tourné les talons, et je suis partie. Rien ne m'a jamais plus fait peur que de le perdre lui, malgré les nombreuses fois précédentes. Et c'est en arrivant à ma porte que je l'ai entendu me crier "à dans un an alors".

    Là, c'est tout mon corps qui s'est arrêté de fonctionner. Nous avons décidé de jouer tels deux acteurs de Jeux d'Enfants. Malheureusement, ce n'est pas dans un bloc de béton que nous finirons. Mais éloignés l'un de l'autre à jamais. 

     

     

    Keaton Henson, mon acolyte de déprime :


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